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Si la reprise complète des façades au mortier de plâtre ne donne lieu qu’à peu de désordres, en revanche les finitions de type peinture sont souvent affectées de cloquages, décollements et fissurations.
Les ravalements de façades en plâtre «type parisien» se font classiquement :
Ce type de finition permet d’uniformiser visuellement les surfaces. Dans le cas de films minces, sans souplesse, qu’il s’agisse de peinture à la chaux, à base de pliolite ou à base de résines acryliques, les différences de propriétés physiques et mécaniques entre les matériaux supports conduisent inévitablement à des fissurations en périphérie des réparations.
De plus, les réparations sont souvent faites en plâtre pur, sous prétexte qu’elles seront recouvertes et donc protégées. Or le plâtre se charge d’eau par transfert de vapeur. Le résultat rappelle rapidement l’aspect des vieux murs de salles de bains, entièrement écaillés.
Pour pallier les problèmes de retrait à la limite de deux mortiers différents, dans le cadre de reprises partielles de plâtre, il est possible d’appliquer des revêtements d’imperméabilité. Leur souplesse permet d’absorber les inévitables fissurations. Certaines pathologies leur sont toutefois propres : ces produits imperméables à l’eau
liquide et assez peu perméables à la vapeur d’eau peuvent être le siège de cloquages (eau enfermée à l’arrière du film ou transferts de vapeur d’eau trop importants).
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