Rapport / Étude
Prévenir le développement fongique en phase chantier – Guide méthodologique
Collection : Points sensibles d'une construction
Date de parution : Décembre 2023
A4 / 15 pages
Le développement fongique en phase chantier représente un risque majeur pour la qualité et la durabilité des constructions.
Le guide méthodologique Prévenir le développement fongique en phase chantier a pour objectif d’identifier les principaux facteurs de risque et de proposer des solutions préventives efficaces.
Il permet :
- de comprendre les mécanismes favorisant l’apparition des moisissures durant la construction d’un bâtiment
- d’identifier les zones critiques à surveiller tout au long de la phase chantier
- et fournit des recommandations concrètes pour minimiser ces risques.
Ce guide aborde 6 aspects essentiels :
- les rôles et actions spécifiques par acteur (maître d’ouvrage, maître d’œuvre, entreprises)
- les principales sources d’humidité en phase chantier
- les points d’attention relatifs à l’enveloppe
- l’organisation efficace du chantier
- les actions à mettre en place en cas d’événement accidentel en lien avec l’eau
- un protocole de remédiation en cas d’apparition de moisissures.
Bien que ce document soit un outil précieux pour orienter les professionnels du bâtiment, il est recommandé de consulter un expert pour des conseils adaptés à chaque situation. Il constitue néanmoins un outil de sensibilisation et d’orientation essentiel pour tous les acteurs du secteur de la construction.
Ce guide méthodologique est issue du projet multipartenarial MYCO-ACT(1) cofinancé par l’Ademe. Il fait partie des 3 livrables du projet, avec :
- une plaquette de sensibilisation Prévenir le développement fongique en phase chantier
- l’outil en ligne d’aide à la décision MYCO-ACT, permettant de sélectionner des actions et mesures préventives les plus adaptées pour éviter le développement de moisissures en phase chantier.
(1)Soutenu par l’Ademe dans le cadre des appels à projets « Bâtiments Responsables 2018 » et CORTEA 2019, le projet MYCO-ACT réunit à la fois des acteurs de terrain et des organismes de recherche (Inddigo, le Centre technique des industries aérauliques et thermiques [Cetiat]), le Centre scientifique et technique du bâtiment [CSTB] et l’École des hautes études en santé publique [EHESP]).