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« Prévenir le développement fongique en phase chantier » - Plaquette technique de l'AQC

Prévenir le développement fongique en phase chantier

Identifier les risques de moisissures et proposer des solutions préventives efficaces.
« Prévenir le développement fongique en phase chantier » - Plaquette technique de l'AQC
Plaquette technique
Collection : Points sensibles d'une construction
Date de parution : Décembre 2023
A5, 4 volets

Les moisissures représentent un risque majeur pour la qualité et la durabilité des constructions.

La plaquette Prévenir le développement fongique en phase chantier a pour objectif d’identifier les principaux facteurs de risque et de proposer des solutions préventives efficaces.

Elle permet :

  • de comprendre les conditions favorisant l’apparition des moisissures sur les chantiers
  • d’identifier les points sensibles à surveiller tout au long du processus de construction
  • et fournit des recommandations concrètes pour prévenir le développement fongique.

Cette plaquette aborde 4 aspects essentiels :

  • l’organisation de chantier adaptée, dont la protection des matériaux
  • les spécificités des modes constructifs
  • la conception et mise en œuvre de l’enveloppe du bâtiment
  • la gestion des facteurs climatiques et ou temporels de l’opération.

La prévention du développement fongique étant un sujet complexe, ce document ne prétend pas remplacer l’expertise d’un professionnel spécialisé. Il constitue néanmoins un outil de sensibilisation et d’orientation pour tous les acteurs du secteur de la construction.

Cette plaquette est issue du projet multipartenarial MYCO-ACT(1) cofinancé par l’Ademe. Il fait partie des 3 livrables du projet, avec :

  • un guide méthodologique Prévenir le développement fongique en phase chantier
  • l’outil en ligne d’aide à la décision MYCO-ACT, permettant de sélectionner des actions et mesures préventives les plus adaptées pour éviter le développement de moisissures en phase chantier.

(1)Soutenu par l’Ademe dans le cadre des appels à projets « Bâtiments Responsables 2018 » et CORTEA 2019, le projet MYCO-ACT réunit à la fois des acteurs de terrain et des organismes de recherche (Inddigo, le Centre technique des industries aérauliques et thermiques [Cetiat]), le Centre scientifique et technique du bâtiment [CSTB] et l’École des hautes études en santé publique [EHESP]).